Les réseaux sociaux sont-ils dangereux pour la santé émotionnelle ? 🏥
Comment les marques jouent sur nos insécurités pour mieux vendre
🎧 Tez Cadey - Talk to me 💃
Hello hello ! J’espère que vous allez bien et que la reprise du mois de Septembre n’a pas été trop compliquée
Du côté de The Storyline, j’ai profité de la fin de l’été pour vous préparer un paquet d’épisodes du podcast, et j’ai hâte de vous faire découvrir les prochains invité.e.s ! Au programme : un tour du côté des entreprises engagées et du lobbying, une plongée dans l’univers du journalisme, un parcours atypique entre la politique et l’industrie du cannabis... Ça va dépoter ! N’oubliez pas de vous abonner au podcast sur votre app préférée pour ne rien louper 😉
Pour cette édition de la newsletter, j’ai eu envie de vous partager mes réflexions sur un (vaste) sujet qui m’obsède depuis longtemps : l’impact des réseaux sociaux sur notre rapport au monde (et a nous-mêmes). Je lis actuellement un livre passionnant sur le sujet, qui vient alimenter en fil rouge l’article que je vous partage ci-dessous. J’ai hâte d’avoir vos ressentis et votre opinion ! ❤️
PS : ça y est, mon appartement parisien est rendu et dans une semaine, je m’envole pour le Mexique, pour tester la vie nomade à 100% 🌴 J’y rejoins notamment Valentin, un ancien invité du podcast et ami - preparez-vous pour des contenus sympa !
Bonne lecture,
Noémie
Brain food 🧠
Des signaux faibles (ou forts) révélant les liens complexes entre marques, individus et nouvelles technologies - et l’impact sur nos jobs et nos modes de vie.
🤳 Les Talibans, nouveaux influenceurs online. Saviez-vous que depuis plusieurs années, les Talibans ont adopté une approche ‘douce’ pour diffuser leurs idées via les réseaux sociaux, par le biais d’ambassadeurs et d’influenceurs ? À l’opposé de Daech, qui a opté pour la terreur, cette stratégie pose aujourd’hui de gros problèmes éthiques aux plateformes en ligne…
🤕 La crise du Covid a-t-elle accéléré la libération de la parole sur les troubles psychiques ? C’est la question posée par une internaute sur la plateforme collaborative d’Usbek et Rica. Et il semblerait que oui, puisque le gouvernement a récemment annoncé qu’à partir de 2022, les consultations chez les psychologues libéraux seraient remboursées pour toute la population française sur prescription médiale. Une belle victoire !
🇨🇳 La Chine serre la vis. Signé par The Guardian, un très bon dossier sur les impacts de la campagne d’homogénéisation culturelle lancée par Xi Jinping sur les ultra-riches et les influenceurs business en Chine. Face à la montée de l’influence des entrepreneurs et des néo-riches, la Chine fait des pieds et des mains pour ramener du conformisme dans la société.
🤑 La folie crypto continue. Et cette fois-ci, c’est Twitter qui fait des vagues ! La plateforme a nominé cet été un ‘project lead’ pour son initiative de réseau social décentralisé, Bluesky. Les contours du projet sont encore flous, mais promettent d’être intéressants à suivre !
🐓🇫🇷 Cocoricloud. (désolée, cette blague est nulle) Le gouvernement a décidé de mettre fin à sa relation avec Microsoft 365, jugé non conforme à la ‘doctrine cloud française’ et trop peu sécuritaire. La solution ? Le gouvernement compte bien développer ‘une solution interne’. Un coup dur de plus pour Microsoft (et le début de l’enfer pour les fonctionnaires et leur nouvel intranet ? 😅)
Pause café ☕
Des informations random pour se marrer, se détendre ou s’inspirer
🙏 L’espoir fait (littéralement) vivre. Le dicton populaire l’avait pressenti, la science l’a confirmé : cet article de The Atlantic explore la capacité supérieure de résilience des profils faisant preuve d’espoir, par rapport à ceux faisant preuve d’optimisme.
🤔 Vous vous êtes déjà demandé à quoi ressemblaient les pharaons ? Moi, oui (team de ceux qui voulaient être archéologues quand ils étaient petits 🙋♀️). Alors vous n’imaginez pas ma joie quand j’ai découvert que des scientifiques ont utilisé sur des momies les technologies de reconstruction 3D du visage (généralement utilisés par la police dans les affaires non résolues). Maintenant, vous savez à quoi aurait pu ressembler Ramsès II.
🏍️ Moto vs voilier. Un motard a accompli la prouesse de traverser l’océan Pacifique en moto BMW GS (oui, vous ne rêvez pas). La moto était bien sûr montée sur un radeau de fortune, mais la prouesse n’en reste pas moins impressionnante !
👨💼 Bienvenue sur Shlinkedin. Vous en avez marre des infopreneurs sur Linkedin et des posts inspirationnels à la pelle ? Allez donc faire un tour sur Shlinkedin, la version satirique du réseau professionnel. Vous pourrez endosser un avatar anonyme et raconter n’importe quoi à longueur de journée (mais aussi, et surtout, bien vous marrer en lisant les posts existants !)
Les réseaux sociaux sont-ils dangereux pour la santé ? 🏥
Il y a quelques semaines, j’ai commencé à lire le livre Mixed Feelings: Exploring the Emotional Impact of Our Digital Habits, de Naomi Shimada, ancienne mannequin plus-size et de Sarah Raphael, écrivain et éditrice. Dans ce livre, les autrices, qui ont toutes les deux construit de belles carrières notamment grâce aux réseaux sociaux, explorent l’impact de ces derniers sur notre rapport à autre, notre état d’esprit, nos émotions et notre rapport au corps.
Spoiler alert: le livre n’est pas très optimiste quant à l’effet des plateformes sur nos pauvres petits cerveaux, ni sur nos comportements sociaux.
De nombreux extraits ont résonné et m’ont fait questionner mon rapport aux applications sociales, mais aussi l’usage qu’en font les marques et les influenceurs aujourd’hui. J’ai donc décidé de vous emmener dans les coulisses des réseaux sociaux 👀
Et pour ce faire, je vous propose de revenir sur certains passages du livre de Shimada et Raphael, en les observant par le prisme des états émotionnels par lesquels nous sommes tous passés au fil de nos scrolls sans fin… 😈
Ego booster : la vanité à l’honneur sur les réseaux sociaux 🤳
La vanité est-elle vraiment de mise sur les réseaux sociaux ? C’est ce que semblent penser les autrices de Mixed Feelings :
A lot of people say that social media is neither good nor bad - it's just a reflection of what's happening in society. I struggle with this view because I think people behave online in a way that they wouldn't in real life.
I think society on social media has a different value system. In the outside world, vanity is a deadly sin, narcissism is a cautionary tale, charity is supposed to be humble, and basic morality means not bragging about your successes, expensive clothes and nice holidays.Naomi Shimada, Mixed Feelings: Exploring the Emotional Impact of Our Digital Habits
Et ce trait est également confirmé par la science : en 2014, l’Université du Michigan a conduit une étude sur 486 jeunes étudiantes (ayant entre 17 et 24 ans), mesurant d’une part leur usage des réseaux sociaux et d’autre part, les traits de caractère liés au narcissisme (exhibitionnisme, tendance à l’exploitation, supériorité, autorité, autosuffisance…)
La conclusion de leur travail est sans équivoque : “Les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter attirent les personnes qui ont besoin de booster leur ego. La recherche a déterminé que l’attrait pour les réseaux sociaux est en train de devenir moins une question de connexion avec les autres et plus une question de vanité, d'égocentrisme et d'autopromotion.”
Sympa.
Mais le pire, c’est que ces comportements sont encouragés par notre nature profonde humaine, la grande coupable dans tout cette histoire. Les réseaux sociaux nous permettent en effet de valider des besoins fondamentaux :
La création de lien social 🔗
L’expression de soi 👩🎤
Le besoin de validation 🌟
Et en effet, fondamentalement, ces besoins n’ont rien de négatif : au contraire, ils sont essentiels au bon fonctionnement de nos sociétés !
En ligne, c’est la même histoire : lorsque l’on débarque sur une nouvelle plateforme, tout est excitant : on se crée un profil, on ajoute ses amis, on gagne des followers, on fait grandir sa notoriété et sa visibilité… Autant d’indicateurs positifs qui boostent notre sentiment d’appartenance et gonflent dans un premier temps nos égos.
Le problème principal, c’est que sur chaque réseau social, pour plaire à nos amis et followers, nous adoptons un masque différent : le jeune cadre ou entrepreneur à succès sur Linkedin, le serial voyageur sur Instagram, le créateur intello aux punchlines qui claquent sur Twitter…
Et pour chaque “masque” endossé sur chaque réseau social, l’algorithme de recommandation est paramétré de manière à encourager les extrêmes. Plus on poste, plus on est visible. Plus on se conforme aux codes de la plateforme (faire des Reels avec telle ou telle musique, créer des feeds de couleur homogène, retoucher à tout va) , plus on génère de l’engagement.
Alors petit à petit, nous avançons vers ces extrêmes, que cela soit dans le comportement ou dans l’accentuation des clichés des personnages que nous jouons en ligne.
Bonne nouvelle pour les marques : plus nous devenons des clichés de nous-mêmes, plus il est simple pour elles de nous segmenter en fonction d’aspirations et de modes de consommation. Mais aussi, d’alimenter notre vision déformée de la réalité à grands coups de campagnes marketing et de collaborations avec des influenceurs lifestyle.
Mauvaise nouvelle pour nous : plus nous développons ces “personnalités” multiples, et plus nous aspirons à la réalité exagérée dont nous sommes témoins sur nos réseaux, plus la dissonance cognitive est forte 🤯
La minute définition :
“En psychologie sociale, la dissonance cognitive est la tension interne propre au système de pensées, croyances, émotions et attitudes (cognitions) d'une personne lorsque plusieurs d'entre elles entrent en contradiction l'une avec l'autre.”
Aaaah, cette fameuse tension interne - autrement dit, le malaise - voire le mal être - que l’on finit par ressentir à force de zoner sur les réseaux. Ce qui nous amène à la seconde phase de l’usage des réseaux, qui remplace à un moment ou à un autre la phase sympathique de vanité et de suralimentation de notre ego : la jalousie et l’anxiété.
Jalousie et crises d’angoisse : quand les réseaux nous font perdre confiance en nous 😧
Malheureusement pour nous, la phase de lune de miel avec les réseaux sociaux et les shots de dopamine sécrétés à la vue des likes et des commentaires sur nos contenus ne dure jamais bien longtemps…
Très rapidement, le calme revient, et nous nous retrouvons face aux feeds colorés et sans fin de notre réseau - ou même d’inconnus, que l’algorithme juge intéressant de nous présenter. Des flots de gens qui vivent leur meilleure vie, mangent des huîtres en bord de mer, escaladent le Kilimandjaro, sirotent des cocktails sur des rooftops, font des shootings indécents sur des plages tropicales de sable fin… Bref, en quelques secondes, on se prend une douche froide. Et d’un coup, notre petit post paraît bien futile comparé à l’océan de kiff qui nous submerge 🌊
C’est ce que résume Naomi Shimada dans ce passage de Mixed Feelings :
But the main underlying trigger here was Instagram. When you're feeling a bit wobbly, Instagram is a one-track trigger machine that takes no prisoners - and I was getting sucked in. Social media when you're not in the right headspace, as we know, can exacerbate anxiety and lead to depression. (…)
Social media, in my fragile state of mind, was turning me into the worst version of myself. I was looking around at what all my peers were doing, and it was making me feel less than. In theory, there were so many good things' going on in my life, but Instagram was making me lose sight of that.
Naomi Shimada, Mixed Feelings: Exploring the Emotional Impact of Our Digital Habits
Dans un contexte de fragilité psychologique, ou tout simplement de manque de confiance en soi, les réseaux sociaux peuvent s’avérer dangereux et catalyser nos angoisses et nos peurs. Il suffit d’un moment de déprime pour que le miroir de Narcisse se transforme en puits sans fin, source d’anxiété, de culpabilité et d’un sentiment de “ne pas en faire assez” par comparaison aux autres.
Le mois dernier, le Wall Street Journal a révélé qu’une enquête interne réalisée par Facebook (mais tenue secrète) avait conclu que l’usage d’Instagram avait un impact extrêmement négatif sur la santé mentale des jeunes adolescentes. Une présentation interne de 2019 exposait ainsi que :
32 % des adolescentes interrogées déclaraient qu'Instagram leur donnait une image négative de leur corps ;
Parmi les participants à la recherche ayant déclaré avoir des pensées suicidaires, 13 % des adolescents britanniques et 6 % des adolescents américains avaient établi un lien direct entre leur envie de se tuer et Instagram. 😨
Chez les humains, la construction de l’estime de soi se fait par le biais de la confiance en soi - la capacité à croire en soi et à être conscient de sa valeur personnelle. Mais dans un monde digital où tout est filtré et édité, comment construire une vision réaliste du monde et faire une estimation, réaliste elle aussi, de notre propre valeur ?
Les plus jeunes sont directement impactés par cette réalité car leur personnalité est plus maléable et leur dépendance au groupe est généralement plus forte. Et pour les nouvelles générations, qui n’ont jamais connu un monde sans Internet (et jamais entendu le son du Modem qui se connectait ou le wizz de MSN 😭), difficile de développer une vision de soi saine et non-biaisée. D’ailleurs, si l’on en croit Santé publique France, 29% des 18-25 ans seraient en dépression. Une situation bien sûr amplifiée par la crise sanitaire et le contexte d’incertitude absolue que nous vivons tous, mais qui est aussi révélatrice d’une réalité : les réseaux sociaux peuvent créer un cercle vicieux de dépendance.
Les dérives du marketing de l’anxiété
Et dans ces situations d’instabilité émotionnelle, devinez qui est susceptible de bénéficier de nos décisions impulsives ? Encore une fois, les marques.
Ces dernières ont bien compris que nous essayons au maximum d’éviter la sensation de passer à côté de quelque chose de ‘cool’, ou de nous sentir laissés pour compte. Cette sensation, c’est le FOMO (je vous en avais déjà parlé dans un billet précédent), ou Fear of Missing Out.
Basé sur la peur de louper une opportunité et de rater quelque chose, le FOMO marketing, une technique qui consiste à jouer sur les insécurités du consommateur pour le pousser à agir rapidement (de préférence, de manière totalement irrationnelle), a pris du galon ces dernières années. Il suffit de taper ‘FOMO marketing’ pour trouver un paquet d’articles traitant du sujet et dispensant des conseils pour ‘tirer parti’ des angoisses des gens.
Je comprends bien que ces techniques vendent et permettent de booster la conversion, mais en termes d’éthique marketing, on est quand même sacrément limite.
Self-love, body positivity… Vers une révolution sur les réseaux sociaux ? ⚔️
Many of us have been conditioned to think that climbing the career ladder absolves us of feeling pain, that success heals trauma…
While of course it can make things easier, it doesn't take the pain away. I think that's a truth that, as humans in the modern world, we're finally waking up to.
We did all the 'right things' and yet we're still unhappy, and the accolades merely act as Band-Aids.
Naomi Shimada, Mixed Feelings: Exploring the Emotional Impact of Our Digital Habits
Comme le souligne encore une fois très justement Naomi Shimada, désormais, sur les réseaux sociaux, un mécontentement se fait entendre. Nombreux sont ceux qui ont compris leur effet pernicieux, et les comptes d’influenceurs prônant l’amour de soi (self love) et l’acceptation de son corps (body positivity) pullulent. Bien sûr, ces derniers ne sont pas forcément la solution à toutes les dérives des plateformes, mais permettent au moins de dresser un portrait plus réaliste de la société.
Mais suivre de nouveaux influenceurs, même s’ils sont moins retouchés et plus ‘humains’, ne suffira pas à briser l’effet addictif des algorithmes. Ces derniers sont paramétrés pour nous transformer en spectateurs dépendants de la vie des autres, et pour maximiser notre usage des applications sociales. Et puis finalement, ces nouveaux mouvements, même s’ils sont pleins de bonnes intentions, finissent par créer de nouvelles injonctions (celles de s’accepter, de s’aimer, de se donner du temps et de s’écouter..)
Alors, comment faire pour briser le cycle ? Certains essaient de limiter le temps d’usage quotidien de leur mobile, d’autres bloquent les réseaux sociaux sur certains créneaux horaires, d’autres encore quittent complètement les plateformes… Mais au final, le plus efficace ne serait-il pas de régler le problème à sa source, et de confronter les organisations responsables de la situation ?
Comme le suggère le dernier passage de Mixed Feelings que je voulais vous partager :
I think we need to deeply question which power structures are responsible for moulding these thoughts into our minds.
So many of us are constantly trying to live up to standards that have been dictated to us, not by us, for things we may not even truly want.
Let's not forget how much we differ from each other. That everyone's 'best' is not supposed to be the same, especially when it comes to our out-of-work time.
Naomi Shimada, Mixed Feelings: Exploring the Emotional Impact of Our Digital Habits
Les procès à répétition contre Facebook et ses consorts semblent illustrer une prise de conscience globale qui pourrait aider à faire évoluer la situation. Mais l’influence et la place qu’ont pris les plateformes dans notre quotidien est tellement fort que je doute que les choses changent réellement (ou du moins dans les prochaines années).
Ceci étant dit, de nouvelles initiatives et expériences sociales fleurissent ici et là : j’ai récemment découvert l’application BeReal, un réseau social aux modalités bien particulières… Le pitch de l’application : “Tous les jours à une heure aléatoire, tout le monde est notifié simultanément pour prendre une photo en 2 minutes. Découvre ce que font vraiment tes amis dans leur quotidien.”
Une approche intéressante, dont l’ambition est de révéler les coulisses du quotidien de nos proches. Une étape vers plus de ‘vrai’ dans nos vies digitales ?
Et en parlant d’acceptation de soi, je vous laisse méditer sur le témoignage de la chanteuse Lola Kirke :
There’s a great quote that’s floating on the internet, and it’s been pasted around my neighbourhood, that says: "In a culture that profits from your low self-esteem, liking yourself is a radical act." I think the culture of social media advocates for you to like and dislike yourself at once. It's a very confusing time to ...be alive?
Lola Kirke, dans une interview donnée au magazine Refinery29
PS : je serais sincèrement curieuse de lire votre avis et votre ressenti sur ce sujet, alors comme d’habitude n’hésitez pas à me répondre directement !
La vidéo est un format de plus en plus plébiscité par les marques, et ce, pour une bonne raison ! Une récente étude montre que 71 % des consommateurs considèrent la vidéo comme véhicule d’une image positive pour les entreprises ! La vidéo a en effet pour principal avantage sa capacité à créer des émotions fortes. Mais malheureusement, la viralité et la capacité de faire des vidéos impactantes n’est pas donnée à tout le monde !
Heureusement pour nous, Harold Gardas n’est pas avare de bons conseils. Le cofondateur de KÖM, une agence média pas comme les autres, est le dernier invité de The Storyline ! Il raconte dans cet épisode ce qui fait de la vidéo un format ultra pertinent pour les marques, et les étapes de la création d’une vidéo qui marche.
Bonne écoute !
Alors, ça vous a plu ?
🌟 Génial • 👍 Bien • 😕 Bof • 🙈 Nuuuul
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D’ici-là, je vous donne rdv dans un mois pour la prochaine édition !