🎧 Tadow - Masego & FKJ. Pour s’évader loinnnnnnnn du froid et du gris… 🏝
Hello tout le monde,
Je vous envoie cette newsletter depuis Mexico City, aujourd’hui c’est mon dernier jour de nomadisme après deux mois à parcours le Mexique d’Est en Ouest 😢 Adieu les crocos, la plongée et bonjour les marchés de Noël et les flammekueche de mon Alsace natale !
Je vous dévoile quand même comment cette édition a été écrite, les pieds dans le sable quelque part entre Puerto Escondido et Mazunte sur la côte Ouest du Mexique… 👇
En cette fin d’année qui s’annonce en demi-teinte avec toutes les annonces, j’avais envie de terminer sur une note positive et optimiste. Alors le sujet des deepfakes, les décryptages des débordements de l’économie des créateurs et autres attendront l’an prochain 😅
En attendant, dans cette édition, je vous propose de parler d’un des sujets sur lesquels j’ai été le plus sollicitée cette année : le personal branding et la création de contenu. Moi qui, il y a quelques années, était à mille lieues d’imaginer que j’allais un jour avoir mon propre podcast et ma newsletter, je suis une fervente défenseure de cette pratique aujourd’hui. J’avais à cœur de vous expliquer en quoi c’est important de vous y mettre, et de vous donner des billes pour le faire !
En espérant que cette newsletter vous encourage à vous lancer… 👀
PS : la semaine dernière, j’ai eu le plaisir de partager mes meilleurs tips de productivité à la startup Kairn, qui les a relayés dans cet article - spoiler : je parle d’écouter des bruits de baleines et de me lever très tôt #toujoursplus 😴🐳
Bonne lecture !
Noémie
Brain food 🧠
Des signaux faibles (ou forts) révélant les liens complexes entre marques, individus et nouvelles technologies - et l’impact sur nos jobs et nos modes de vie.
🥊 Réseaux sociaux 0 - 1 Lush. La célèbre marque de cosmétiques Lush a récemment défrayé la chronique en annonçant sa décision de quitter les réseaux sociaux. Selon la marque, “Cette décision est la finalité d'une longue réflexion à l'égard de ces plateformes et de leurs effets néfastes sur leurs abonnés. Aujourd'hui, nous voulons être sûrs de ne pas attendre que les autres prennent conscience du problème, mais plutôt de changer notre propre comportement pour répondre à ces problématiques dès maintenant. Nous avons toujours eu une relation authentique et sincère avec notre communauté.” - respect !
🦅 Enquête sur un fonds qui détruit le journalisme américain. “In May, the Tribune was acquired by Alden Global Capital, a secretive hedge fund that has quickly, and with remarkable ease, become one of the largest newspaper operators in the country. The new owners did not fly to Chicago to address the staff, nor did they bother with paeans to the vital civic role of journalism. Instead, they gutted the place. The model is simple: gut the staff, sell the real estate, jack up subscription prices, and wring out as much cash as possible.” Ce passage résume à merveille le coeur de cette enquête de The Atlantic sur les pratiques révoltantes du fonds Alden Global Capital. Un tableau représentatif de l’état des médias aujourd’hui.
😰 Êtes-vous atteint.e de productivité dysmorphique ? Cette boulimie d’accomplissements, qui pousse ses victimes à en faire toujours plus sans jamais prendre le temps de se réjouir de leurs accomplissements est une nouvelle manifestation du rapport malsain que nous développons parfois avec nos carrières… Une lecture éclairante pour ma part !
👾 Premiers pas vers une législation de l’IA ? Tous les États membres de l'UNESCO ont adopté fin Novembre un accord définissant “les valeurs et principes communs nécessaires pour assurer le développement sain de l'IA.” Une initiative rassurante pour la suite !
🚴♀️ Dans l’univers de manipulation psychologique de Peloton. Cet article explore les leviers psychologiques et marketing utilisés par la plus grande plateforme de fitness au monde pour rendre ses utilisateurs addict.
Pause café ☕
Des informations random pour se marrer, se détendre ou s’inspirer
🤖 🐸 Les robots-grenouille sont parmi nous. Et ils savent se reproduire. Des scientifiques auraient créé les premiers “robots vivants”, capables de se reproduire, à partir de cellules souche d’une espèce de grenouille d’Afrique. Spoiler alert : c’est ultra flippant.
⭐️ Avez-vous les compétences nécessaire pour le futur du travail ? Ce thread de conversation sur la plateforme d’Usbek et Rica recense les compétences qui seront nécessaires à maîtriser demain selon les lecteurs du magazine.
🐳 Do you speak whale ? Une équipe de chercheurs (perchés ?) serait apparemment en train d’essayer de percer le secret du langage des baleines en s’appuyant sur l’intelligence artificielle. Dans quelques années, le film finding Nemo sera-t-il devenu une réalité ? 😱
🎨 Connais-toi toi même. Flint a listé 12 biais cognitifs importants à connaître, partagés par Antoine Pasquier, qui influencent nos décisions et nos comportements !
💎 Qui a perdu ses joyaux ? En 2013, un alpiniste français découvrait sur le Mont Blanc un coffre rempli de pierres précieuses (saphirs, rubis, émeraudes…) perdu lors du crash en 1966 d’un avion AirIndia - oui, on se croirait dans un film.
Complètement fouTrès honnête, l’alpiniste avait remis ledit coffre aux autorités. Après 8 ans sans trouver de propriétaire, les autorités françaises ont décidé de lui offrir la moitié du butin (et le gouvernement de Chamonix a gardé le reste)
Le coup de pouce de la semaine 👍
Frédéric, vétéran de la communauté The Storyline, se lance dans la création de contenu ! Pour ce faire, et pour mieux comprendre les attentes de son audience cible, j’ai nommé 👉 les personnes ayant créé une communauté autour d'une thématique sur des outils comme Slack, Discord, ... Si c’est votre cas et que vous avez 8 minutes à accorder au remplissage de son questionnaire ici, vous lui serez d’une grande aide ! 🙏
En Novembre 2020, en enregistrant un épisode de podcast sur le sujet du personal branding avec la talentueuse Juliette Hervé, Marketing Manager France de Spendesk, j’étais loin de m’imaginer que ce dernier ferait exploser tous les records d’écoute du podcast The Storyline.
Et pourtant - un an plus tard, cet épisode détient toujours le nombre le plus élevé d’écoutes du podcast. Le personal branding n’était initialement pas un thème qui faisait partie de ma “thèse” d’écriture ni de mes sujets de prédilection. Mais à la suite de ce podcast, tout s’est enchaîné très vite : invitation à des conférences (merci à la BPI 💛) et des débats (coucou Sam et la MAIF ❤️), organisation de workshops, et même création d’un bootcamp sur le sujet avec mon cher Antoine Chauffrut…
Bref - le personal branding est devenu quasi du jour au lendemain un de mes sujets de prédilection. Et petit à petit, j’ai pris conscience de sa puissance, et de la manière dont j’avais moi-même commencé à travailler le mien de manière presque inconsciente (ou du moins, pas très structurée…). Depuis, j’ai développé une méthode et une approche que j’enseigne parfois au cours d’interventions, et dont j’avais envie de vous partager plusieurs briques pour vous aider à vous lancer !
Mais avant de partir sur une méthodologie propre au personal branding, je trouve intéressant d’explorer les raisons de l’explosion de cette pratique sur les réseaux sociaux (eh oui, je vous fais du teasing 👀)
Le contexte : de l’économie du savoir à l’économie de l’attention 😵
Aujourd’hui, il est plus difficile que jamais pour les marques (mais aussi pour les individus) d’être entendues en ligne. Pourquoi ? Parce que depuis plusieurs années, nous faisons tout simplement face à une marée d’informations disponibles en ligne, sous laquelle nous sommes graduellement noyés.
[PARENTHÈSE DIGRESSION] C’est un sujet que j’ai d’ailleurs longuement évoqué dans l’épisode #31 du podcast avec Benoît Raphaël, le co-créateur de l’intelligence artificielle Flint. Nous avions en effet parlé du phénomène de la News Fatigue : aujourd’hui, de 3 à 7 % de la population mondiale ne regarde en effet plus les informations. Elles sont en effet souvent jugées trop stressantes, ou leur véracité est jugée comme trop complexe à vérifier.
Et cette marée d’informations plus ou moins pertinentes, plus ou moins vraies, ne fait que monter : en 2020, on enregistrait 80,000 requêtes Google tapées chaque seconde. 50,000 tweets publiés chaque jour. 294 milliards d’emails envoyés et reçus quotidiennement 🤯 de quoi donner le tournis !
Ce que cette situation délirante implique, c’est que l’accès à la connaissance n’est plus un avantage concurrentiel pour les entreprises ou les individus. Ce qui importe désormais, la ressource limitée, c’est l’attention des consommateurs. D’une l’économie du savoir, nous sommes passés à une économie de l’attention. Et comme le résume l’écrivain Mark Manson :
Modern technology isn’t changing us. It’s changing society. The attention economy has commoditized our time and turned us into products to be bought and sold.
La plupart des produits digitaux sont ainsi designés pour nous rendre accros et maximiser la rétention des utilisateurs :
🤳 les notifications incessantes des réseaux sociaux ;
🔂 les growth loops des applications de productivité ;
⚡️ les éléments de partage et de viralité sur les plateformes ;
🦹♀️ les dark patterns jouant sur l’urgence, sur la FOMO, sur l’esprit de compétition ;
...
Et du fait de cette nouvelle guerre de l’attention, les marques doivent redoubler d’efforts pour se faire entendre. Mais pour les individus, indépendants, entrepreneurs, créateurs… C’est le même combat ! Le temps d’attention disponible de leurs audiences est de plus en plus infime, et de plus en plus difficile à capturer.
C’est la raison pour laquelle aujourd’hui, le Marketing descendant (à sens unique) a été graduellement remplacé par de nouvelles méthodes et une nouvelle approche ‘reine’ : l’Inbound.
L’avènement de l’Inbound Marketing ⚡️
En réponse à la masse ambiante d’informations en ligne, à la fatigue croissante des utilisateurs vis-à-vis des publicités intrusives et de la législation européenne de plus en plus stricte vis--à-vis de l’accès aux internautes (coucou la RGPD 👮♀️), le marketing a débuté sa grande mue ces dernières années.
Pour celles et ceux d’entre vous qui suivez le podcast depuis un bout de temps (merci à vous ❤️), vous vous souvenez peut-être de l’épisode de célébration des 1 ans de The Storyline. J’y décrivais les sujets qui pour moi étaient amenés à se développer à toute vitesse dans les années à venir. Et devinez quoi - ce sont les mêmes sujets qui accompagnement aujourd’hui la transformation du marketing. J’ai nommé :
La passion economy, ou l’économie des créateurs
Le marketing éthique et le marketing frugal
Des ponts toujours plus forts entre l’univers des marques et ceux de la créativité et de la culture
L’avènement des communautés de marque
Le point commun entre tous ces éléments ? Ils vont dans le sens d’une relation plus équilibrée entre le consommateur et la marque (ou le créateur), et s’inscrivent dans la tendance générale de l’Inbound Marketing.
Cette dernière, pour les non-initiés, désigne selon Hubspot (les créateurs du terme)
une stratégie de création de contenu qui permet d'attirer des visiteurs afin de les convertir en leads puis en clients, grâce à des techniques telles que le marketing automation, le lead nurturing et la création de contenu.
Pour gagner la guerre de l’attention, il faut en effet donner avant de demander. Autrement dit, pour que l’on écoute votre message ou que l’on remarque votre profil, il vous faut créer du contenu de qualité, pertinent pour votre audience cible. C’est la base du marketing de contenus.
Et c’est la raison pour laquelle l’économie des créateurs explose aujourd’hui (elle est désormais valorisée à plus de 100 milliards de dollars !!! 🤑). Certains individus ont compris que pour tirer leur épingle de ce jeu dont les cartes viennent d’être rebattues, ils peuvent facilement concurrencer les marques, en adoptant leurs techniques.
Leur secret sauce ? créer du contenu, se constituer une audience engagée et finir par monétiser cette audience… Le tout, saupoudré d’une stratégie de personal branding bien ficelée. 🏅
Devenir sa propre marque avec le personal branding 💅
Bon, je m’excuse, cette introduction / contextualisation est devenue quasiment un article à part entière mais restez avez moi - on aborde le concret dans quelques lignes ! Ce qu’il est important de retenir cependant, c’est que désormais, les particuliers ont accès à des outils de création et de diffusion de contenu qui leur donnent une potentielle force de frappe similaire à celle des marques.
Ce que cela veut dire pour vous, c’est qu’il est aujourd’hui ultra-simple de vous lancer et de vous faire connaître sur les internets - mais attention, il ne suffit pas de faire des vidéos ou d’écrire des articles sur son blog pour s’élever au-dessus du bruit ambiant sur les réseaux. C’est là qu’intervient le personal branding. Cette technique est définie comme le fait d’appliquer les principes du marketing, jusqu’alors réservées aux entreprises, à des individus. Autrement dit, avec le personal branding, vous vous marketez et vous vous vendez à votre réseau. Les objectifs peuvent être nombreux :
incarner votre entreprise si vous en êtes le dirigeant
attirer de nouveaux clients si vous êtes indépendant.e
valoriser votre profil professionnel et attirer de nouvelles opportunités
préparer un move dans votre carrière, briguer une promotion
vous faire reconnaître comme sachant.e ou expert.e sur un sujet donné
…
Mais avant de vous vendre, il faut savoir comment vous voulez vous positionner - une étape essentielle qui est souvent oubliée ! En effet, lorsque l’on commence à communiquer sur soi, on a tendance à vouloir tout dire.
C’est normal, mais c’est malheureusement une erreur… Le cerveau humain est en effet câblé pour simplifier l’environnement qui nous entoure et les interprétations que nous en faisons ! Pour vous en convaincre, il vous suffit de faire un tour du côté de cette ancienne édition de The Storyline sur les biais cognitifs.
Bref, les gens ont tendance à mettre les autres dans des cases, et à les identifier à une ou deux thématiques GRAND MAXIMUM - alors si vous vous passionnez pour l’équitation, l’acupuncture, le growth hacking et la réalité virtuelle, c’est très bien mais il va falloir choisir votre thématique phare…
Quelques exemples en vracs de personnalités ayant réussi leur positionnement :
Laetitia Vitaud et Samuel Durand, pour leur positionnement sur le futur du travail
Guillaume Moubeche, pour son positionnement sur le bootstrapping / entrepreneuriat
Grégoire Gambatto, pour son positionnement sur le growth / l'entrepreneuriat
Pauline Laigneau, pour son positionnement sur l'entrepreneuriat.
Je vous invite à aller vous inspirer de leurs comptes Linkedin pour vous faire une idée de ce à quoi ressemble une bonne stratégie de personal branding !
Plus facile à dire qu’à faire, allez-vous me dire. Et c’est vrai : définir son positionnement est un exercice ardu 😱 Heureusement pour vous, il existe plusieurs méthodes pour simplifier ce travail, dont une que je vous partage ci-dessous.
Comment poser les bases de sa stratégie de personal branding ? 💡
Première étape du personal branding, donc, et non des moindres, celle du positionnement. Comment faire pour clarifier ce dernier et maximiser vos chances de vous ancrer dans l’inconscient de votre audience comme LA référence sur un sujet précis ?
J’utilise parfois une méthode très simple mais très pratique, qui aide énormément à poser ses idées sur le papier : j’ai nommé, la méthode du X pour Y ! Je vous vois déjà perplexes 😳 X pour Y, kézaco ? Ces deux lettres se réfèrent simplement aux éléments suivants :
X, c'est le sujet sur lequel vous vous positionnez (le management, l'innovation, le jardinage, le marketing, le code, le marketing du sport, l'aromathérapie…). En gros, c'est ce autour de quoi l'intégralité de votre personal branding va tourner.
Y, c'est l'audience à laquelle vous vous adressez : les marketeux en herbe, les gamers invétérés, les curieux de la nature…
Et l’intersection de ces deux éléments, c’est votre niche !
Par exemple, pour The Storyline, la manière la plus simple que j’ai trouvée de pitcher mon projet est de dire que “The Storyline, c’est l’art du storytelling (mon X) expliqué aux marketeux et aux créateurs (mon Y)”.
Simple, efficace, et surtout mémorable. Parce que lorsque vous allez vous lancer, vous serez en concurrence pour l’attention de vos cibles avec de nombreux autres individus, qui peuvent s’avérer difficiles à détrôner... Alors, plutôt que de viser large en adoptant un positionnement générique, la meilleure stratégie consiste à viser une niche la plus petite et précise possible.
Même si cela peut paraître contre-intuitif, plus votre niche sera spécifique, plus il vous sera facile de vous y imposer et de vous faire reconnaître. Une fois votre “premier cercle” d’audience fidélisé et engagé au maximum, vous pourrez envisager d’élargir votre positionnement sans diluer votre visibilité. Habile. 💡
Et si vous hésitez encore, voici trois conseils pour vous lancer plus sereinement.
3 croyances à abandonner avant de se lancer 🙅♂️
😱 Les gens ne vont pas réagir ou apprécier mon contenu
❌ FAUX : tant que votre contenu répond aux besoins ou envies d’une niche correctement définie, des gens consommeront votre contenu. À vous de faire le travail de découvrir à qui vous vous adressez, et comment vous devez le faire pour être pertinent.e. Le plus important est d’accepter que les choses ne vont pas forcément prendre tout de suite et de persévérer. Prenez soin de vos premiers followers, ce sont eux qui vous aideront à décoller par la suite grâce à leur engagement.
😎 J’ai besoin d’être expert.e de ce sujet pour en parler
❌ FAUX : j’aime penser que l’on devient réellement expert d’un sujet lorsqu’on s’applique à le transmettre. Ce qui compte vraiment, c’est votre manière d’aborder vos thématiques de prédilection et de leur donner votre touche personnelle - mais aussi d’être transparent.e avec vos followers quand à votre niveau de maîtrise de tel ou tel sujet. L’important, c’est d’être cohérent.e dans vos prises de parole et de tenir dans la durée : vous allez grandir, évoluer et vous perfectionner avec les retours de votre audience, et avec le temps !
🎨 Je n’ai pas assez de talent, je ne suis pas créatif.ve
❌ FAUX : le talent n’est qu’une partie du processus. Ce qui fait réellement la différence, c’est votre capacité à executer et à tenir le cap dans la durée - une des épreuves les plus difficiles dans la création de contenu. Développez une attitude positive vis-à-vis de vos expériences, considérez-les comme des opportunités d’apprendre plutôt que comme des échecs quand les choses ne se passent pas comme prévues ou que vos contenus ne rencontrent pas le succès attendu. Comme dit le proverbe, 20% d’inspiration et 80% de transpiration 🥵 Allez, au boulot !
C’est tout pour ce mois-ci - j’espère que l’article vous aura donné des billes pour entamer votre réflexion et définir votre sujet de prédilection.
Ready to shine ?
Je vous souhaite à toutes et à tous de magnifiques fêtes de fin d’année, et à bientôt dans The Storyline !
🍁 #42 - De l’Elysée au CBD, avec Chloé Perrot de Slow infusion
Dans cet épisode de The Storyline, on s’envole vers un univers qui sent le chanvre, mais aussi un peu le souffre (vous avez la blague ?). Le parcours de Chloé est peu commun. Longtemps plume à l’Elysée, entre rédaction de discours et éléments de langage, elle a décidé de changer de cap, et de se lancer dans l’entrepreuneuriat. Elle a ainsi créé sa marque d’infusions à base de CBD, relaxantes et 100% naturelles, surfant sur ce nouveau marché. On discute dans le podcast de son parcours et de sa vision du marketing et de l’écriture. Le tout, autour d’une tisane au CBD of course.
🌱 #43 - Penser un marketing plus éthique et engagé, avec Pierre Guilbaud de Marketing Flow
A travers chacune de ses nombreuses aventures entrepreneuriales, Pierre Guilbaud a toujours gardé pour fil rouge son envie d’accompagner les entrepreneurs à impact. Un engagement qui l’a amené à tester de nombreux hacks et à repenser le funnel d’acquisition des entreprises pour le rendre plus transparent et plus juste vis-à-vis des consommateurs ! Autant vous dire que j’ai tout de suite été séduite par son approche et ses convictions... On a discuté ensemble de la notion de Marketing éthique et des bonnes pratiques pour les marques qui souhaitent s’en emparer !
Alors, ça vous a plu ?
🌟 Génial • 👍 Bien • 😕 Bof • 🙈 Nuuuul
Si vous avez aimé cette édition et que vous kiffez The Storyline, ce serait un énorme coup de pouce de la partager ou même - soyons fous - d’aller donner 5 étoiles et un commentaire au podcast sur Apple 👉 par ici 👈.
D’ici-là, je vous donne rdv dans un mois pour la prochaine édition !
Salut je suis Simon Bayllincia B.V. je veux participer car j'aime écrire Des histoires et Romans je suis une haïtienne