Merci beaucoup pour ce partage ! La réflexion sur les réseaux sociaux m’interpelle, comme beaucoup.
Et si on inventait le métier de dé-social-media-manager ? (Réf au dévendeur de l’ADEME 😅) Accompagner les entreprises à moins dépendre des réseaux, repenser leur comm’ sur d’autres canaux ! Un nouveau champ des possibles s’ouvre qui j’espère permettra aux entreprises et aux consommateurs citoyens de trouver plus d’équilibre !
J’ai envie de vous dire que cela existe déjà et… depuis la nuit des temps ! Je travaille dans la com depuis près 25 ans, donc avant l’avènement du digital et je crois que c’est le fondement du métier : explorer les canaux de communication avec les stratégies les plus adaptées, en utilisant les ressources avec discernement et conscience. C’est la signature des (bons) communicants depuis toujours 😉 particulièrement positionnée aujourd’hui sur les stratégies de contenus, j’engage mes clients à réfléchir à la notion de sobriété éditoriale, et je les encourage à l’adopter surtout !
Merci pour ce partage Sophie, en effet on a tendance à penser qu'on réinvente la roue à chaque innovation ou changement de paradigme, alors qu'on se pose les mêmes questions depuis la nuit des temps... Ça méritait d'être rappelé !
Très intéressant. Je ne connaissais pas du tout le cas de Lush. Même si je n'aime pas la marque, je reconnais que c'est un sacré positionnement. J'avoue que perso j'ai de plus en plus de mal avec les réseaux sociaux. Je ne suis pas une marque donc ce n'est pas comparable mais en tant que consommatrice, j'en suis fatiguée. Pourtant, je n'arrête pas de me dire qu'il faut que j'y aille pour ma newsletter mais au final pourquoi me forcer ? :)
Hello Clémence ! Je te rejoins sur cette fatigue généralisée, c'est sûr que c'est difficile de sortir de la petite roue de hamster parce qu'on s'impose des injonctions très puissantes à nous mêmes... Parfois, je t'avoue que je me pose la même question - quand le plaisir devient de la contrainte, c'est qu'il y a un désalignement quelque part... Mais pas simple à trouver ! 🙏
Super analyse du cas Lush ! J'ai d'ailleurs reçu la marque sur mon podcast pour parler de cette décision et comment cela a impacté leur relation avec les créateurs de contenu.
Un plaisir d'avoir pu partager ma vision de l'influence dans ce boucan des réseaux sociaux sur The storyline
Merci pour être superbe édition Noémie. Les réseaux sociaux sont, à l'heure actuelle, la principale source d'acquisition pour la newsletter... Mais je me démène les méninges pour m'en émanciper autant que faire se peut. Tout récemment, j'ai fait imprimer des mini cartes de visite, que je distribuerai lors de mes prochaines interventions. J'envisage aussi d'aller poser des affiches dans quelques lieux clefs... À l'ancienne et à l'arrache. Bref, j'ai hâte de lire tes prochaines pistes !
Merci Romain d'avoir pris le temps de me partager ces réflexions ! Tellement dur de s'émanciper, félicitations pour tes initiatives, c'est hyper chouette ! Les affiches, je suis assez convaincue que c'est le futur (en papier biodégradable of course 😄) et le street marketing de manière générale ! Hâte de voir tes prochaines idées héhé
Ça fait du bien de se sentir moins seule ! Je refuse les missions tiktok (c’est un début) et j’oriente chaque fois mes recos vers des contenus de temps longs mais la route est encore longue
🙏🙏🙏 c'est déjà très très cool - il ne faut pas qu'on oublie que c'est un cheminement et une démarche plutôt qu'une fin en soi - on pourra toujours faire mieux et plus responsable alors bravo d'avoir déjà impulsé une réflexion et un mouvement ! ;)
Merci beaucoup pour ce partage ! La réflexion sur les réseaux sociaux m’interpelle, comme beaucoup.
Et si on inventait le métier de dé-social-media-manager ? (Réf au dévendeur de l’ADEME 😅) Accompagner les entreprises à moins dépendre des réseaux, repenser leur comm’ sur d’autres canaux ! Un nouveau champ des possibles s’ouvre qui j’espère permettra aux entreprises et aux consommateurs citoyens de trouver plus d’équilibre !
J’ai envie de vous dire que cela existe déjà et… depuis la nuit des temps ! Je travaille dans la com depuis près 25 ans, donc avant l’avènement du digital et je crois que c’est le fondement du métier : explorer les canaux de communication avec les stratégies les plus adaptées, en utilisant les ressources avec discernement et conscience. C’est la signature des (bons) communicants depuis toujours 😉 particulièrement positionnée aujourd’hui sur les stratégies de contenus, j’engage mes clients à réfléchir à la notion de sobriété éditoriale, et je les encourage à l’adopter surtout !
Merci pour ce partage Sophie, en effet on a tendance à penser qu'on réinvente la roue à chaque innovation ou changement de paradigme, alors qu'on se pose les mêmes questions depuis la nuit des temps... Ça méritait d'être rappelé !
J'adooore ce concept haha, c'est génial ! Assez persuadée qu'on va voir apparaître des consultants en sobriété numérique dans pas très longtemps ;)
Oui si ce n’est pas déjà fait ! L’intitulé de poste fait envie en tout cas formulé avec ces mots-là 😄
Très intéressant. Je ne connaissais pas du tout le cas de Lush. Même si je n'aime pas la marque, je reconnais que c'est un sacré positionnement. J'avoue que perso j'ai de plus en plus de mal avec les réseaux sociaux. Je ne suis pas une marque donc ce n'est pas comparable mais en tant que consommatrice, j'en suis fatiguée. Pourtant, je n'arrête pas de me dire qu'il faut que j'y aille pour ma newsletter mais au final pourquoi me forcer ? :)
Hello Clémence ! Je te rejoins sur cette fatigue généralisée, c'est sûr que c'est difficile de sortir de la petite roue de hamster parce qu'on s'impose des injonctions très puissantes à nous mêmes... Parfois, je t'avoue que je me pose la même question - quand le plaisir devient de la contrainte, c'est qu'il y a un désalignement quelque part... Mais pas simple à trouver ! 🙏
Super analyse du cas Lush ! J'ai d'ailleurs reçu la marque sur mon podcast pour parler de cette décision et comment cela a impacté leur relation avec les créateurs de contenu.
Un plaisir d'avoir pu partager ma vision de l'influence dans ce boucan des réseaux sociaux sur The storyline
Ohlala passionnant, j'essayais justement de les contacter pour faire la même chose mais il ne me reste plus qu'à aller écouter ton podcast 😉
Merci pour être superbe édition Noémie. Les réseaux sociaux sont, à l'heure actuelle, la principale source d'acquisition pour la newsletter... Mais je me démène les méninges pour m'en émanciper autant que faire se peut. Tout récemment, j'ai fait imprimer des mini cartes de visite, que je distribuerai lors de mes prochaines interventions. J'envisage aussi d'aller poser des affiches dans quelques lieux clefs... À l'ancienne et à l'arrache. Bref, j'ai hâte de lire tes prochaines pistes !
Merci Romain d'avoir pris le temps de me partager ces réflexions ! Tellement dur de s'émanciper, félicitations pour tes initiatives, c'est hyper chouette ! Les affiches, je suis assez convaincue que c'est le futur (en papier biodégradable of course 😄) et le street marketing de manière générale ! Hâte de voir tes prochaines idées héhé
Haha je te dirai si ça a fonctionné !
Super angle Noémie ! Plein de choses à défricher avec ce point de vue, j'ai hâte de lire la suite :)
@Noémie merci ! En effet, ça donne plein d'idées - et ça fait peur aussi, un peu 😅
Merci pour cette édition qui résume parfaitement la situation. Je suis free-lance social media en dissonance cognitive depuis déjà quelques années 😵💫
Hâte donc de suivre tes prochaines explorations
@Julia tu es loin d'être la seule ! Est-ce que tu as mis en place des choses pour moins ressentir cette dissonance ?
Ça fait du bien de se sentir moins seule ! Je refuse les missions tiktok (c’est un début) et j’oriente chaque fois mes recos vers des contenus de temps longs mais la route est encore longue
🙏🙏🙏 c'est déjà très très cool - il ne faut pas qu'on oublie que c'est un cheminement et une démarche plutôt qu'une fin en soi - on pourra toujours faire mieux et plus responsable alors bravo d'avoir déjà impulsé une réflexion et un mouvement ! ;)